miércoles, 10 de julio de 2013

Il n’est pas trop tard pour agir


i le mot « francophonie » apparaît pour la première fois en 1880, dans France, Algérie et colonies, un ouvrage du géographe Onésime Reclus qui prône l’expansion coloniale française. L’origine du mouvement revient à Léopold Sédar Senghor. C’était en 1960. Alors que le général de Gaulle lui annonçait l’indépendance de son pays, le poète, qui était à l’époque député français, lui avait répondu, d’une voix trahissant l’émotion : « Mon général, nous allons donc être indépendants. C’est bien. Mais il faut tout de suite créer entre nous tous, quelque chose pour défendre ce qui nous est commun : la langue française. » Il aura fallu attendre vingt-six ans.

Que s’est-il passé en 1986 ?
En février 1986, quarante et une délégations, dont une majorité conduite par les chefs d’État et de gouvernement, se sont réunies à Versailles pour jeter les fondements d’une Conférence des pays ayant en partage le français. A la surprise générale, tous les pays invités ont acquiescé de façon positive, sauf l’Algérie. Proximité d’une guerre cruelle certes, mais le Vietnam a été aussi le théâtre d’une guerre cruelle, et pourtant il a répondu présent. Douze académiciens français étaient invités à la séance inaugurale. J’étais parmi eux, assis à côté de Senghor, qui assistait ainsi à la réussite de son projet.

Il n'y a pas si longtemps je ne me préoccupais guère de l'environnement jusqu'à ce que j'ai commencé à habiter avec ma compagne. Dorénavant j'éprouve un fort intérêt pour tout ce qui concerne l'environnement et en portant une attention spéciale sur notre propre villa, en tâchant d'économiser la plus grande quantité possible de lumière. Est-ce que vous voulez une véritable solution pour arrondir les fins de mois ? Vous en avez plein les bottes du coût de la vie ? Visitez le site web codes-promo.org pour réaliser vos emplettes sur le site marchand Hewlett Packard. Vous en serez ravi !. Tous notre mobilier, canapés, fauteuils, matelas, commode, meubles outdoor, sont entièrement manufacturés avec des matériaux recyclés. Nous achetons les petits et gros électroménagers conformément à ce qu'ils consomment, aussi bien notre magnétoscope, notre ordinateur de bureau, notre tablette, tous nos appareils informatiques en général, notre scanner, notre frigo, notre machine à laver, notre four que nos téléphones ont été acquis il y a peu, pas plus de sept mois. Alors faites le vous aussi, la planète vous en remerciera.
Deux ans plus tard, lors du som-met qui s’est tenu à Dakar, vous étiez ministre de la Francophonie dans le gouvernement de Michel Rocard. Était-ce la première fois que la France se dotait d’un ministre de la Francophonie ?
Oui et non. Car au lendemain de la rencontre de Versailles, en 1986, le gouvernement, constitué par Jacques Chirac le 20 mars, a créé un secrétariat d’État à la francophonie qui fut confié à Lucette Michaux-Chevry jusqu’en mai 1988. Lors du changement de majorité, Michel Rocard m’a demandé d’être ministre de la Francophonie. De secrétariat d’État, la francophonie gagnait en relief en se voyant accorder un ministère à part entière.

Quelle était votre mission ?
Par délégation du Premier ministre, j’ai été convié à exercer « les attri-butions relatives à l’usage et à l’enri-chissement de la langue française » ; et par délégation du ministre des Affaires étrangères, j’étais chargé de la « promotion de la francophonie dans le monde ».

C’est un univers qui ne vous était pas totalement inconnu !
En 1984, le président François Mitterrand avait créé le Haut Conseil de la francophonie. Il m’y avait nommé. C’est là que j’ai découvert la francophonie. Lors de la première réunion, en 1985, j’ai vu accourir des gens de tous les pays, de toutes les races. Ils n’avaient aucun point commun, hors leur passion pour la langue française. Quand la parole leur a été donnée, ils n’ont pas prononcé de discours, mais des déclarations d’amour. Ce jour-là, je me suis demandé si mes compatriotes étaient à la hauteur de cette foi si éloquemment affichée par des étrangers.

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